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5ème journée du Festival de Deauville 2013

Whooz : Deauville 2013

ON : le 3 septembre 2013

La 5ème journée du festival

Petite journée, mais grandes rencontres

Déjà la moitié du Festival et la projection des 7 et 8ème film en compétition, soit la moitié des films en compét. La bouteille est donc a moitié pleine, ou a moitié vide !

MIRACLE

Miracle, il existe des films dot la « violence » ne tient pas dans les « guns » (in English dans le texte). Ouf

Photos exclusives

Projections. Stand Clear of the closing doors suit les pérégrinations d’un autiste, Short Term 12, de jeunes et de leurs éducateurs – des sujets forts.

Au jeu des pronostics, Stand Clear est un tour de force, il mériterait une distinction, laquelle ? Vu le sujet, vu l’allégorie de la famille en crise, recomposée après la tempête, au sens propre comme au figuré – Why not !

Standing ovation. Short Term 12 est le grand événement du jour, si ce n’est l’un des plus grand événement de la semaine, voir LE plus grand événement de la semaine, et Destin Cretton, son réalisateur, est simplement l’une des plus grandes rencontre de ce festival. Simple, sympa, accessible, content d’être à Deauville, en France, enthousiaste de l’accueil que lui a réservé le public, de ce que lui dit le public - Il y a des mots qui mêmes dits en français sont compréhensibles par un américain – Destin Cretton est une grande rencontre. Ryan Coogler, le réalisateur de Fruitvale Station (également l’un de nos plus gros coups de cœur) nous l’avait d’ailleurs dit, « si vous aimez mon film, alors ne manquez pas « Short Term 12 » et son réalisateur.

On peut affirmer qu’en ce 3 septembre, Destin Cretton est un homme comblé.

Tapis. Serait-ce faire offense à Gale Ann Hurd, l’une des plus importantes productrices américaines que de dire que le tapis de ce soir était « un petit tapis » ? Un tapis qui réserva son lot de surprises, quand même ! La présence de Jann Kounen, par exemple, mais également celle de la grâce de Jena Malone … des petits plus bienvenus. (Jena était accompagnée de M. Blasch, tous deux avaient présenté la veille « The Wait » un film vraiment singulier).

Sinon. Aujourd’hui était jour d’hommage à Gale Ann Hurd, ainsi qu’à Richard Ford, écrivain américain à qui on remettait le remettait le prix littéraire Lucien Barrière (ce qui explique la présence du jury sur le tapis, dont Eric Neuhoff). Sur le tapis Richard Ford n’eut aucun regard pour son public, peut-être y avait-il quelque uns de ses lecteurs ! (Lors de la séance de dédicace organisée sous la verrière hhà du CID de 17h à 17h30, celui-ci ne signa que son livre et refusa toutes photos).

Vivement demain, jour de l’hommage à Larry Clark. Avec une petite appréhension, tout de même, celle de se confronter au caractère bien trempé de « sir » Larry. (L’hommage à Larry Clark a été avancé d’une journée pour des raisons d’emploi du temps du maitre. Les autres événements n’ayant été changés, la journée de demain s’annonce comme une journée relativement chargée).

A demain …