Blandine Lejeune - Interview
Whooz : Blandine Lejeune, écrivaine.
ON : le 22 juin 2013 au Furet du Nord de Villeneuve d’Ascq
Brève rencontre !
Nous avons rencontré Blandine Lejeune lors d’une séance de dédicace au Furet du Nord de Villeneuve d’Ascq. L’écrivaine faisait table commune avec Jean-Denis Clabaut, tous deux sont édités par les éditions Ravet-Anceau.
Blandine Lejeune, qu’attendez-vous d’une telle manifestation ?
Blandine Lejeune : Ce que j’attends d’une telle manifestation. Etre en contact avec des lecteurs, échanger avec eux. Des lecteurs habituels ou potentiels. J’ai du mal à préciser quel est mon lectorat. J’ai des lecteurs qui me connaissent grâce à mon métier, et il y a les lecteurs de polars, ceux qui s’intéressent plus au polar psychologique.
Il est vraiment difficile de définir mon lectorat. J’ai des messages facebook de toutes sortes, des hommes comme des femmes, des anonymes également. Des messages plutôt admiratifs.
Pouvez-vous vous présenter ?
Je suis une avocate pénaliste, je me suis mis à l’écriture en 2005 par un témoignage sur mon vécu professionnel (« Une femme parmi les hommes »). L’écriture a toujours été pour moi un vieux rêve. En 2012 est sorti « Embrouilles lilloises », mon premier livre policier. Je me suis mis au polar car c’est un compromis entre mon métier d’avocat et l’écriture.
Mon second polar sortira en novembre.
Comment qualifieriez-vous votre parcours ?
Mon parcours est logique car j’ai toujours aimé écrire.
Mon premier livre a été édité aux éditions Ramsay en 2004, il concernait mon parcours professionnel. Et la suite fut un désir très fort de lecture, une oxygène, une échappatoire, une nécessité d’écriture. Et la rencontre avec les éditions Ravet-Anceau.
Vous êtes fière d’être éditée par les éditions Ravet-Anceau …
C’est en effet une fierté car j’aime ma région et Ravet-Anceau, c’est la maison du polar en Nord, avec ses collectionneurs, ses fans. Donc, être édité par Ravet est un honneur.
Pouvez-vous nous parler d’ « Embrouilles lilloises », votre premier roman ?
C’est un polar psychologique, une enquête policière et non un thriller, où l’on y suit le commissaire Boulard … on y trouve également un avocat qui se nomme François Lebas ! Ce livre est inspiré de témoignages de policiers qui vivent des événements difficiles à supporter. Mais ce livre n’est pas trash.
Pourriez-vous quitter votre métier d’avocat pour l’écriture ?
Je ne pourrais pas quitter mon métier qui est pour moi source d’inspiration. Mais attention, je n’utilise jamais ce que j’ai vécu, ce que j’ai plaidé. Ecrire sur des faits divers ne m’intéresse pas, ce qui m’intéresse, c’est de m’évader. Donc, pas sur une histoire que j’aurai plaidée.
Quel sont vos projets ?
Ecrire, écrire et écrire.
Pour aller plus loin sur WHOOZONE.COM
https://www.whoozone.com/actualites/article-1243-201307111243-jean-denis-clabaut-interview.html
Jean Denis Clabaut est également édité par les éditions Ravet-Anceau
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