L'humaine Beauté de François Staal
Whooz : François Staal
ON : L'humaine Beauté
Ce qu’il y a de beau
L'humaine Beauté de François Staal
« L'humaine beauté », dernier album en date de François Staal, est un album inspiré par la beauté des arts et des artistes.
On découvre « Minuit », un titre phare et envoûtant, une belle tentative de saisir, d'évoquer, le lien et le vécu difficile des créateurs et de leur dépendance à l'alcool : Jim Harrison, Serge Gainsbourg, Amy Winehouse, Verlaine, Baudelaire, Janis Joplin... (liste non exhaustive).
Minuit - (L'alcool et l'artiste) – François Staal - Album « L'humaine beauté »
« L’humaine beauté », 7eme album de François Staal, est composé une dizaine de textes inédits, la reprise de deux monuments de la chanson française : « La nuit je mens » (Bashung) et « Avec le temps » (Ferré). Auxquels il faut ajouter une chanson de Pierre-Yves Lebert et un poème de Baudelaire.
Point d’orgue d’une évolution débutée il y a dix ans, « L’humaine beauté » couronne une recherche sur les sons et le texte en français, mêlant guitares et batterie rock aux cordes symphoniques, dans une certaine filiation avec Nick Cave ou les Pink Floyd. Deux superbes duos rythment cet album, l’un avec CharlElie Couture, et l’autre avec Nina Morato.
« L’humaine beauté » est un aboutissement, au sens littéral comme au sens musical... ou faudrait-il dire au sens propre comme au sens figuré ? Au fil de textes poétiques traversés par tous les élans de l’existence, de la révolte légitime du militant (« Ready ») aux réminiscences grandioses de l’enfance (« Bréhat »), de la solitude de l’artiste abîmé dans ses tourments (« Minuit ») à l’élégance des images suspendues comme des étoiles (« Ce qu’il y a de beau »), cet album de chanson rock explore la beauté dans ce qu’elle a d’éphémère (« C’est maintenant »), de contradictoire (« Ne pas t’attendre »), de fraternel (« Tous frères ») et d’exaltant (« Céline »). Jusqu’à la reprise de ces deux chefs d’œuvre profondément humains que sont Avec le temps de Léo Ferré, et La nuit je mens, d’Alain Bashung.
Pour François Staal, la quête du beau, c’est suivre les pas de Charles Baudelaire, son mentor, son auteur de chevet (et ce n’est pas un hasard si l’album s’achève avec « L’invitation au voyage »). C’est écrire des textes, où la vérité, la réalité, sont observées, reconstruites, déformées, transposées pour échanger, partager, toucher l’âme et l’esprit. A la manière d’un polaroïd dont les couleurs déforment la réalité avec tendresse.
Source : Agence Attitude
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